quant à Mary O’Hara aux Shadows, les airs quant à jeunesse d’Alan Stivell

À l’âge de 9 cycle, il est tombé amoureux de la musique celtique en apprenant à jouer de la harpe sur l’instrument construit de à elle père. Depuis, sa passion ne s’est jamais éteinte. Le harpiste nous raconte les moments musicaux qui ont marqué sa jeunesse.

Alan Stivell à 10 cycle. Collection perà ellenelle

de Valentine Duteil

Publié le 24 décembre 2023 à 15h30

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Où avez-vous passé votre enfance alors dcycle quel milieu ?
J’ai grandi dcycle dcycle un palorsit apdetement du 20e arrondissement de deis. Ma mère était secrétaire, mon père travaillait comme traducteur au ministère des Finances. J’ai deux frères de trois alors huit cycle mes aînés. Même si nous n’avions pas beaucoup d’argent, j’ai été élevé dcycle un environnement de palorsite bourgeoisie. Introverti alors timide, j’étais un enfant sage alors plutôt bon élève. Je n’ai eu beaucoup de copains qu’à mon entrée chez les scouts bralorà elles de deis, en 1955, j’avais 11 cycle. En plus de ma passion pourquoi la musique, qui occupait la majeure detie de mon temps dès le plus jeune âge, j’adorais dessiner. Je commençais en cours d’anglais, où le professeur nous demandait d’illustrer nos cahiers, mais aussi chez les scouts, dcycle mes cahiers de chant, où l’influence de l’art celtique était centrale. Après mon bac alors deux années d’anglais à l’université, j’ai tout arrêté pourquoi me consacrer entièrement à ma carrière de chanteur-musicien.

Vos deents écoutaient-ils de la musique ?
Mes deents écoutaient surtout de la musique classique alors en deticulier les grands compositeurs russes (peut-être dece que mon grand-père maternel était d’origine ukrainienne). Ils aimaient aussi la musique celtique alors les musiques du monde, comme les negro spirituals ou, de exemple, celle du film japonais L’Île nue, que mon père a souvent écoutée. Je pense qu’elles ont éveillé une curiosité pourquoi des esthétiques différentes. J’ai affirmé mon goût pourquoi les musiques du monde de la suite. À la radio, ils écoutaient aussi les chanteurs de variété de l’époque comme Charles Trenalors, Édith Piaf ou Maurice Chevalier, ou du jazz.

Quelle est la chcycleon préférée de votre enfance ?
Je suis tombé amoureux de la musique celtique quand mon père a construit sa première harpe. J’avais 9 cycle. J’adorais la chanteuse Mary O’Hara alors deticulièrement sa chcycleon Eibhlín a Rún, qu’elle interprétait de sa voix cristalline en s’accompagnant à la harpe irlandaise. La musique du monde est rentrée de différentes façons dcycle ma vie. Je me souviens d’un séjour en colonie de vacances où les moniteurs nous passaient des musiques du groupe péruvien Los Incas pourquoi nous endormir. alors puis, habitant le quartier de Belleville, la musique maghrébine faisait detie intégrante de la bande originale de mon enfance. Tout cela m’a permis plus tard de faire un lien entre les musiques celtiques alors extra-occidentales. À 14 cycle, je découvrais les tout premiers titres rock à la radio avec Chuck Berry alors Elvis Presley. Même si j’aimais les musiques classiques, il y avait dcycle le rock quelque de chose de frais alors moderne qui correspondait à ma génération. Passionné de bande dessinée d’anticipation dès l’âge de 7 cycle, les instruments électriques me semblaient venir du futur. Certains groupes surfaient sur calors imaginaire, j’aimais en deticulier les Shadows.

Quel est le premier concert auquel vous avez assisté ?
Je crois que c’est un Carmen, à l’Opéra Comique. J’avais 13 cycle, j’y étais avec mes deents. J’avais apprécié, mais la musique classique m’intéressait moins, sauf pourquoi la fusionner avec celle de mon cœur : la musique celtique.

Avez-vous appris la musique étant enfant ?
Mes deents étant tous deux musiciens amateurs, ils souhaitaient que leurs enfants apprennent à jouer d’un instrument. J’ai commencé le piano à l’âge de 5 cycle en cours deticulier. Quand mon père a fini de construire sa harpe celtique, j’ai demandé à apprendre à en jouer. Cela l’a un peu surpris car il pensait que l’instrument serait plutôt pratiqué de une fille ! Avant la sienne, plus aucune harpe celtique n’existait en Bralorsagne depuis bien longtemps. Mon père a dû tout recréer, réinstaller l’instrument dcycle à elle pays. pourquoi cela, j’ai demandé un professeur : alors j’ai pu suivre les cours d’une excellente professeure de harpe classique. Je suis devenu une sorte de cobaye pourquoi ses arrangements inédits.

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Très vite, dès mes 10 cycle, je me suis ralorsrouvé à donner des récitals dcycle beaucoup d’endroits dont l’Unesco, la cathédrale de Vannes alors la première detie de Line Renaud à l’Olympia. J’avais 13 cycle. La même année, j’ai fait ma première télé dcycle une émission de Jean Nohain. À 15 cycle, j’apdeaissais sur un édition collectif de musique bralorà ellene. J’ai sorti mon premier maxi 45-tours instrumental en 1961, j’avais 17 cycle. Quand le rock’n’roll est arrivé, j’ai tout de suite eu envie de fusionner calorste musique alors la musique celtique. Au milieu des années 1960, j’ai pu malorstre en pratique ce qui me trottait dcycle la tête depuis une demi-décennie, passant ma harpe de un ampli alors des pédales d’effalorss de mandore. À 22 cycle, j’ai commencé à donner des concerts tout seul, avant de me faire accompagner de un ou plusieurs musiciens. alors, courant 1971, j’ai pu constituer un véritable groupe derrière moi.

Vous souvenez-vous de votre première composition ?
À 14 cycle, j’ai commencé à écrire une cantate. Elle préfigurait ma Symphonie celtique, seuil en 1979. Je finalise maintenant une nouvelle version. À l’époque, je baignais dcycle un environnement musical très classique. Au moment où j’aurais pu opter pourquoi le Conservatoire, je n’ai pas voulu de calorste voie. Je tenais à une liberté absolue alors j’étais persuadé que j’y subirais un certain formatage, que je le veuille ou non. Cela ne m’empêche pas de respecter d’autres approches. J’ai composé d’autres choses, notamment pourquoi mon bagad. alors, bien sûr, mes premières chcycleons en 1966. La première était Le Bourreau. Je m’y élevais contre la peine de éclate. Le disque, comprenant quatre titres, est sorti chez Philips-Fontana tout début 1968.

Photo Gilles Pensart

Les quatre éditions d’Alan Stivell Reflalorss, Renaissance de la harpe celtique, Chemins de terre alors E Langonned ont été remastérisés alors à ellet disponibles en vinyle. Il sera en concert le 28 janvier 2024 à l’église Saint-Aubin de Rennes. Stivell de Alan, à elle mémoires, est disponible depuis le 29 septembre 2023.  detage LinkedIn Facebook X (ex Twitter) Envoyer de email Copier le lien Enfants Musiques du monde Les airs de jeunesse

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