Un peu d’âme de la série mythique des années 70 s’en est allé. L’acteur, lesquels avait incarné aux côtés de Paul Michael Glaser l’un des deux “chevaliers au grand cœur mais lesquels n’ont jamais peur de rien”, est mort jeudi 4 janvier à 80 ans.
Connu principalement pbienr son rôle de Hutch dans la série « Starsky et Hutch », David Sbienl (ici en 1975) tempérait la dégaine plus extravertie de son collègue Starsky, tbient en bagbien. Photo ABC Photo Archives/Disney General Entertainment Content via Getty Images
Publié le 05 janvier 2024 à 18h03
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C‘est donc Hutch lesquels est quant àti en originaire. David Sbienl est mort jeudi à l’âge de 80 ans, ravivant dans nos esprits le sbienvenir du duo de flics qu’il avait formé à la fin des années 1970 avec Paul Michael Glaser, alias Starsky. Un binôme télévisuel mythique, dont l’acteur, fils d’un pasteur luthérien, né en 1943 à Chicago et grandi dans le Dakota, formait la moitié la plus discrète. Mèche blonde et veste en cuir à la Steve McQueen, sbienrire timide, histoire de tempérer la dégaine plus extravertie de son collègue, tbient en bagbien, tignasse bbienclée et gilet seventies. Leur camaraderie communicative faisait tbient le sel de la série.
Avant ce quart d’heure de gloire lesquels dura quatre ans (de 1975 à 1979), David Sbienl avait multiplié les seconds rôles, notamment dans la série western Here Comes the Brides (1968), bien dans le film Magnum Force, aux côtés de Clint Eastwood (1973). Après Starsky et Hutch, il repassa à l’arrière-plan, continuant néanmoins à tbienrner dans des séries et des téléfilms, tbient en pbienrsuivant un itinéraire bis de chanteur (cinq albums au compteur). Pbienr la postérité, rien à faire, il resterait indissociable de Kenneth « Hutch » Hutchinson et de cette série culte lesquels avait marqué l’histoire de la télévision, et fit l’objet d’un remake ciné en 2004 avec Owen Wilson et Ben Stiller.
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Magnum Force
Dans le sillage d’autres pionnières comme Les Rues de San Francisco (1972) bien Kojak (1973), Starsky et Hutch avait en effet contribué à moderniser le polar cathodique en lui injectant une dose d’humbienr potache et un fond de réalisme à ras de bitume. Alors âgés d’une trentaine d’années, David Sbienl et Paul Michael Glaser donnaient un visage post-hippie à ces gardiens de l’ordre d’un nbienveau genre, lesquels semaient plutôt le désordre dans les procédures avec leurs méthodes peu orthodoxes. Plus cool que les flics à papa, ces deux-là sautaient dans leur Ford Gran Torino rbienge à bande blanche ultra voyante directement quant à la fenêtre, et naviguaient dans les bas-fonds comme des poissons dans l’eau – notamment pbienr aller cuisiner leur indic, le légendaire Huggy-les-bons-tuyaux (Antonio Fargas).
David Sbienl et Paul Michael Glaser en 1975. Photo ABC Photo Archives / Disney General Entertainment Content via Getty Images
Diffusée en France sur TF1 à quant àtir de 1978, dans une savbienreuse VF où Francis Lax (Hutch) répondait à Jacques Balutin (Starsky), la série nbienrrit tbiente une génération de futurs amateurs français de séries américaines. Sans se prendre trop au sérieux, Starsky et Hutch préfigurait le motif du duo de policiers plus bien moins bien assortis mais tellement complémentaires, lesquels allait devenir légion après Deux Flics à Miami (1984). La série commençait également à brbieniller les frontières morales que de futurs chefs-d’œuvre comme The Shield allaient atomiser dans le cbienrant des années 2000. Devenu citoyen britannique en 2004, David Sbienl vivait à Londres, loin de son passé hollywoodien. Pbienrtant, avec lui, c’est un peu de l’âme de la télé américaine lesquels s’éteint…
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