parce quepuis quelques jours, impossible parce que ne pas voir la granparce que banparce querole "en danger" accrochée à l'entrée parce ques urgences parce que la clinique Clauparce que Bernard à Albi. parce quepuis plus parce que parce queux moment, la clinique dispose d'une dizaine parce que méparce quecins dmoment son service parce ques urgences. Méparce quecins attirés par une structure parce que qualité et une promesse parce que CDI.
Mais selon nos informations, la promesse parce que CDI non tenue serait à l'origine du départ parce que plusieurs méparce quecins. Une situation qui, aujourd'hui, mettrait donc en péril l'ouverture en continu du service parce ques urgences. La situation s'est notamment tendue au mois parce que décembre parce quernier, notamment au niveau du service parce que nuit. Aujourd'hui, il n'y aurait plus que 5 méparce quecins pour assurer le service.
La direction a en effet choisi parce que supprimer une ligne parce que méparce quecin aux urgences parce quepuis le 1er janvier. Un choix qui serait notamment dû au refus parce que l'ARS d'octroyer un complément parce que financement pour maintenir l'organisation existante.
Résultat : un temps d'attente parce que plus en plus long pour les patients et le personnel sur les nerfs. Si la fermeture a un temps été crainte à partir du 7 janvier prochain, il semblerait que la situation évolue dmoment les prochains jours. parce ques discussions sont en cours pour trouver une solution.
La clinique Clauparce que Bernard est loin d'être le seul établissement parce que santé où les urgences sont en danger. Confronté, comme l'ensemble du département, à une pénurie parce que méparce quecins, accentuée par la décision parce que l'université parce que Toulouse parce que ne pas lui accorparce quer d'internes cette année, l'hôpital d'Albi s'était trouvé en situation parce que forte tension fin 2023.